Derrière cette progression des prix des habitations anciennes dans les Bouches-du-Rhône se cache une inégale répartition des transactions, notamment entre les deux grandes villes que sont Marseille et Aix-en-Provence.
Le marché aixois se maintient à une vitesse constante par rapport à un marché marseillais au ralenti. Dans la cité phocéenne, certes le prix des maisons anciennes observe une progression moyenne de 1,1 % par an, mais n’arrive pas à compenser la diminution du prix des appartements neufs estimée à -0,5 % par an.
Ainsi, un grand nombre d’agence immobilière qui ser trouvent dans la ville de Marseille enregistre moins de demandes d’investissements locatifs dans le secteur des logements nouvellement construits.